Mas de Daumas Gassac «Fleuron du Languedoc»

Mas de Daumas Gassac, c’est histoire d’un passionné, d’un visionnaire, Aimé Guibert, qui en 1971, découvre à Aniane, un mas à l’abandon, situé dans l’arrière pays de l’Hérault. Sous les conseils du célèbre professeur Henri Anjalbert, professeur à l’université de Bordeaux, il décide d’y planter de la vigne. Ainsi commence l’histoire de ce vin hors norme, issu d’un sol composé de grèzes glaciaires, comparable aux meilleurs terroirs la Côte d’Or en Bourgogne. 1978 sera le premier millésime produit à Damas Gassac.

Concernant son nom, il n’est autre que celui de la famille à laquelle appartenait le vieux mas, la famille Daumas, auquel Aimé Guibert a ajouté Gassac, nom de la rivière qui traverse cette splendide vallée.

Avec le millésime 1982, c’est le premier signe de reconnaissance par la presse internationale, le magasine Gault & Millau décrit le Mas de Daumas Gassac rouge comme un «Château Lafite- Rothschild» du Languedoc.

Le cépage principal n’est autre que le Cabernet-Sauvignon, présent à 75%, associé à une dizaine d’autres cépages et pour ce qui est de l’appellation, il est tout bonnement classé en IGP St Guilhem-le-désert, Cité d’Aniane. Les rendements ne dépassent pas 35 hl par hectare, et l’élevage se fait en barrique bordelaise, à la façon médocaine, sans aucune filtration.

Mas de Daumas Gassac rouge 2017
Un Vin complexe, aux multiples arômes de cassis, fruits noirs et accents de prune, auxquels se mêlent de jolies notes florales d’herbes fraîches, de garrigue. En bouche, la densité imprime le style, ample, riche, d’une merveilleuse concentration, avec une très grande présence de fruits noirs et d’épices. La texture juteuse de ses fruits noirs où la mûre et le cassis s’en donnent à coeur joie, semble tempérée par des saveurs intenses de menthe fraîche.Tout au long de la dégustation, il gagne en étoffe et en persistance. Un modèle du genre, une trame puissante enveloppée de velours !
Prix : 50,00€ la bouteille (logé en carton de 6 bouteilles)

« Peut-être d’avantage que tout autre rouge languedocien, Daumas Gassac à la capacité de résister au temps. Comme un Médoc,
dont il partage le cépage dominant, il lui faut souvent une dizaine d’années avant de pleinement s’exprimer »